Cette minuscule haliotide est l'une des plus rare du genre : Haliotis pulcherrima Gmelin 1791 est endémique des eaux polynésiennes. On ne connaît pas l'animal vivant, toutes les coquilles ayant été trouvées vides, généralement échouées sur la plage après la tempête. Celles-ci ne font pas exception. Elles proviennent de l'atoll de Tikehau, à l'ouest des Tuamotu, en Polynésie française.
Haliotis pulcherrima, Gmelin 1791 - 17 mm, Tikehau
4 commentaires:
Et bien toi quand tu t'y mets tu fais pas semblant !!
Tu sorts l'artillerie lourde !!
Magnifique spécimen ! Ta collection en fait baver plus d'un (Moi le premier !)
A+
En fait elles sont plus jolies en photo qu'en vrai à l'oeil nu : elles sont vraiment minuscules !
J'ai rajouté un lien pour afficher les photos sur toute la largeur de l'écran.
A+
C'est souvent le cas, grâce au fond noir, à l'éclairage, un peu de paint shop pro ou photoshop on obtient souvent des clichés où la coquille est plus belle que nature.
A ce propos avez-vous du matériel et appareil photo spécifiques pour réaliser vos clichés ?
> Scaphander
Bonsoir,
En fait celles-là ont été réalisées avec un vieux scanner qui doit frôler la dizaine d'année - et une petite dose de Photoshop, bien sûr. Comme la quasi totalité des photos de cônes de www.zonatus.com.
Le scanner est extra pour les petites pièces, en particulier lorsqu'elles sont très minces comme les haliotis. Par contre il n'y a quasiment aucune profondeur de champs, donc c'est moins satisfaisant pour les spécimens de bonne taille.
Les autres photos du blog sont réalisées avec un Canon EOS-400D. Mais c'est une acquisition récente, et je suis encore en recherche des meilleurs réglages - ainsi que d'un dispositif d'éclairage satisfaisant.
Bonne soirée.
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